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Nous ne savons pas ou nous allons finir ou comment après être né que se soit dans une famille riche ou pauvre. Le fait est que tout le monde mourra. Je commence ainsi par ce que ces pages dans la revu panorama m’est très marqué avec la souffrance que subit les enfants dans la rue en Inde spécialement à Madurai. Un enfant est jeté dans la rue cause que sa maman après avoir consulté une voyante pour découvrir l’avenir de sa fille et le verdict ressort que’’ l’enfant portera malheur, misère et déshonneur à sa famille et que son futur mari est promis à la mort’’ voila que la maman commence à détester sa fille, elle tente de la jeter dans la prostitution puis essaye de la brûler. Un beau jour, a bout de forces épuisé et désespérer la fille atterrit dans l’un des lieux d’accueil gérés pas association Nanban, à Madurai, au cœur de la pointe sud de l’inde. Epuisée par une histoire devenu trop lourde à porter. Aujourd’hui, l’association commence tout doucement à lui donner confiance en elle. C’est pour ces genres d’enfants et pour ces genres d’associations que je cherche à m’investir pour donner de moi-même et de mon œuvre.

Certain enfant de la rue atterrissent souvent à Madurai à la suite de leur parents, chassés des campagnes par la pauvreté. En Inde, 80% de la population habite encore les zones rurales. Autour de Madurai, on cultive ainsi le riz, la canne à sucre, le tabac, les mangues et les bananes. Les parents se rabattent dans les villes pour travailler et les enfants sont souvent livrés à eux-mêmes. Et le système scolaire n’encourage guère les familles à envoyer leur enfant dans les écoles : elles ne procèdent guère de moyens et, de toute façon, les professeurs sont très souvent absents. « Je vous écris cela le 14-09-2016 alors que qu’elle a été publié en juin 1998 peut être que les choses se sont améliorer qui en sait ? ». Ces enfants qui atterrissent dans cet association, certain on fait le rue ou il faut d’abord survivre. Certains se chargent des premiers petits travaux qu’ils trouvent : cireurs de chaussures, ramasseurs d’ordures ou de ferrailles, colporteurs, livreurs…

Ils arrivent dans certain grâce à la rencontre avec les moniteurs ou monitrices qui après les avoir rencontrer dans la rue passent du temps à causer avec eux ‘’ six à sept ‘‘heures avant de les amenés pour les aidés et arriver sur place, on les laisse seuls, ils ont besoin de cette solitude et on ne les pose pas de question. Ce sont souvent les autres enfants qui engageront le dialogue avec eux. Dans ces lieux d’accueils, on trouve des jeux, des activités, une écoute psychologique et des soins médicaux. Le but de ces centres est de ramener les enfants auprès de leurs familles, dans leurs villages car « personne sur terre ne peut remplacer la famille biologique »

Il est vrai que le conteste est différent. Aujourd’hui l’école est devenue un moyen et un autre système de commerces et non une source d’éducation. Je trouve l’idée de cet homme merveilleux comme pour moi, « il faut toucher le cœur des enfants et pas seulement gérer des école » c’est ce qu’il faut faire.

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